Non, je parlais du
ur des potars. Dans les années 70, on montait un bipolaire avec un pot pour régler le courant de repos des étages de puissance à transistor. Le
ur défectueux du pot à tué tant de transistors coûteux qu'il fallait réagir.
Alors,la solution était de mettre :
- une résistance bien calculée entre le
ur et une extrémité du potentiomètre, celle qui offre la sécurité max en cas de mauvais contact,
- Relier au
ur l'extrémité libre du potentiomtre quand on l'utilise en résistance variable (peut être fait systématiquement, puisque sans influence sur la résistance finale)
Il y a eu de nombreux articles - dans les cahiers de ARTS notamment - sur la suppression des craquements et autre bruits dans les potentiomètres. Cela évite des erreurs qui le manque de métier fait souvent apparaître dans des schémas irréprochables au plan théorique.
Bon courage et bravo pour votre pugnacité.
Une citation de Mr Bassi :
"Le savoir faire des concepteurs d'amplis est comparable à celui des concepteurs d'automobiles. L'accumulation de connaissances et de savoir faire y est énorme. Vous viendrait-il à l'idée de construire votre auto ? "
Loin de vouloir décourager qui que ce soit - je fais partie de ces inconscients qui préfèrent leurs amplis à ceux du commerce - je remercie celui qui a inventé les forums qui permettent justement aux ignorants dont je fais partie d'acquérir des savoir faire que seuls les vieux briscards possèdent.
Au fait,connaissez vous un bobineur de toriques ?
D'expérience toujours, la pente du tube est aussi un facteur important dans ....l'instabilité. La 6P14P ayant une pente honorable,vaut mieux être prudent. Quant à la régulation du courant, c'est un petit plus qui se paie par un léger taux de CR donc perte de gain. 
!
