chanmix51 a écrit:
R2 devient infinie et par conséquent β tend vers 1. Le gain de l’étage va donc être
Code:
A = Ao / (1 + Ao)
c'est à dire qu'il va tendre vers 1 si le gain est grand mais sans jamais atteindre vraiment l'unité et c'est logique : sur le schéma de PBen une partie du swing fait varier Vgk, cette partie est perdue à l’anode et est d‘autant plus faible que le gain est grand. Si le gain était très élevée (un AOP) Vgk serait une masse virtuelle.
Grégoire
Vrai mais incorrect !
Si R2 devient infinie, le gain évoqué -> 1 MAIS c'est le gain de l'entrée non inverseuse de l'AOP (virtuel) qui tend vers 1.
Or on entre par l'entrée inverseuse avec R2 en série.Tu as bien mis dans la première partie Input au bout de R2, et si R2 devient infinie. Il ne passe plus rien, et le gain préalablement défini devient 0 (pas 1).
(pas mal le coup du passage de 'Input' de masse à la grille 1...bien essayé !)
Si la résistance de la source de courant R2 est bien infinie (CCS parfaite) cela n'empêche pas ladite source d'envoyer du courant dans R1 (ce que tu ignores) et de faire varier Vg (comme j'ai essayé d'expliquer). Le gain alors est bien d(Va) / d(Vg) sensiblement = Av (Mesuré, vérifié ...)
Ton raisonnement montre par contre que si Va varie autrement que du fait de l'application d'un signal à l'entrée, d(vg) = d(VA), ce qui est vrai (CF une remarque dans le premier post : Le montage a un PSSR de course ! ).
Conclusion : Perseverare Diabolicum....
J'ignore la motivation de cet acharnement contre mon modeste montage. Mais si je puis me permettre, avant de dire n'importe quoi, je vous conseille de faire le montage : mesurez et vous verrez...çà évitera de se casser la tête pour dire des aneries !
Désolé d'en arriver là, mais il fonctionne, comme prévu !
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Maintenant, je suis Gérard
et je pars à la mer !
Pascal.